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Pour la journée, je prends du sparadrap bon marché sur support papier qui
ne colle pas trop. Les premiers jours, je n'avais pas assez de peau à faire
remonter autour du gland pour le recouvrir avant de coller le sparadrap.
De ce fait, un peu de sparadrap était collé directement à l'avant du gland.
Toutefois, en choisissant un sparadrap qui ne colle pas trop, ça ne pose pas
de problème. Au bout de deux à trois semaines, je pouvais recouvrir mon gland entièrement. Les premières semaines d'une restauration de prépuce sont certainement les plus spectaculaires, et les résultats obtenus sont un encouragement pour continuer. A partir de ce moment là, pendant quelques temps, j'ai choisi de me contenter dans la journée d'un seul morceau de sparadrap, tantôt orienté haut bas, tantôt droite gauche. Certaines journées de travail (avec le trajet) sont longues. Et on peut avoir besoin d'uriner plusieurs fois dans la journée. Il faut alors défaire le sparadrap qui finit par ne plus coller. Dans ce cas, j'ai choisi de remonter quand même de la peau autour du gland et elle pouvait rester dans cette position quelques heures, à condition de porter un slip serré. Les jours où j'étais chez moi, lorsque le sparadrap ne tenait plus, c'était plus simple, j'en remettais du neuf. Une astuce pour pouvoir décoller les bandes de sparadrap facilement, notamment en situation d'urgence : replier une extrémité de la bande sur elle même, coté collant à l'intérieur du pli. Ainsi, vous disposerez d'une languette de quelques millimètres (un millimètre suffit) qui ne collera pas à la peau et il suffira de tirer dessus pour décoller la bande de sparadrap. On peut voir 2 petits rabats sur la première photo : en bas de la bande verticale et (moins visible) à droite de la bande horizontale. |
![]() Un cross-taping nocturne réalisé avec du sparadrap qui laisse des traces de colle. Le lendemain matin, on voit l'effet d'étirement dû à l'érection nocturne |
Si dans la journée, la tension du sparadrap utilisé pour la restauration du
prépuce est adaptée à un pénis flasque, pour la nuit, j'ai choisi de profiter
des périodes d'érection. En conséquence, pour la nuit, j'ai choisi de faire un maintient en croix avec un sparadrap plus solide et plus collant que dans la journée. Après avoir recyclé un reste de sparadrap du siècle dernier, j'ai essayé à la fois du sparadrap sur support plastique micro-poreux, et du sparadrap sur support tissu vendu en pharmacie. Les deux matériaux conviennent mais j'ai une préférence pour le sparadrap sur support tissu (3M Durapore), plus souple, un peu moins cher, et qui colle bien sans laisser de trace de colle. |
![]() Blessures du gland en décollant du sparadrap qui adhère bien |
Au bout de 2 ou 3 semaines alors que la peau de mon gland était devenue
plus lisse, j'ai eu des blessures en enlevant ce sparadrap (rougeurs voire
saignement). J'ai donc choisi de mettre un peu du sparadrap ordinaire dont
la colle n'a presque plus d'effet après utilisation ou du coton sur le gland
avant de faire le collage en croix. Note : on peut utiliser le même sparadrap en mettant un morceau face collante contre face collante, à l'endroit où le sparadrap va toucher le gland. |
![]() La solution pour protéger le gland |
![]() Au tout début de ma restauration |
3 mois après avoir commencé de faire ça, la peau de mon gland est devenue plus lisse et brillante. elle est aussi plus sensible et je prends plaisir à faire coulisser de la peau dessus : une forme de masturbation que je n'avais jamais connu. |
![]() Quelques semaines après |
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Durant les 3 premiers mois, après nettoyage, donc sans trace de colle, la position
naturelle de mon gland reste à l'extérieur. Mais au bout de 3 mois de restauration,
mon prépuce peut recouvrir partiellement le gland (à moitié hauteur) et rester dans
cette position plusieurs heures. Toutefois, ce maintien semble lié à une température
basse avec rétractation de la peau qui reste serrée au niveau du gland. Le mois
suivant, la position la plus naturelle du gland est toujours à l'extérieur. Au bout de 4 mois de restauration, j'ai l'impression que seul le cross-taping nocturne est encore efficace pour la restauration du prépuce, dans la mesure où il est assez solide pour résister à l'étirement de la peau lors des érections. Dans la journée, l'utilisation de sparadrap permet juste de conserver le gland à moitié ou au 3/4 recouvert, position dans laquelle on peut le mettre sans forcer. Pour que le nouveau prépuce recouvre entièrement le gland au repos, il faudrait maintenir la peau tendue au delà du gland. |
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![]() Un ring-taping bien réussi |
Après 6 mois de restauration de mon prépuce, je fais toujours majoritairement un ring-taping dans la journée. C'est moins irritant qu'au début, mais il a du mal à tenir. Au moindre début d'érection, le gland passe à travers la bague de sparadrap. |
![]() Utilisation d'un joint torique simple |
![]() Le o-ring-taping : un joint torique et du sparadrap pour le faire tenir |
![]() Deux joints toriques pour que ça tienne mieux |
Comme dans le cas d'un ring-taping, il peut arriver au bout de quelques heures
que le léger gonflement du pénis ait pour effet de désenfiler une partie du
joint torique (souvent la partie du dessous). Je colle donc du sparadrap autour
du joint torique pour le maintenir en position. Malgré tout, un o-ring-taping a tendance à se défaire tôt ou tard. A 7 mois 1/2 de restauration, je rajoute un joint torique n° 14 après celui de 16. Mais ça glisse toujours vers l'avant dans la journée et donc, ça ne dispense pas de sparadrap. |
![]() Un cross-taping nocturne bien plus serré qu'au tout début |
![]() Un autre qui tient pendant l'érection du matin |
![]() Un cross-taping nocturne qui n'a pas tenu pendant l'érection |
Après 11 à 12 mois de restauration de mon prépuce, pour faire le cross taping
nocturne, il est temps de faire remonter de la peau au delà du gland. Mais cela
suppose de faire descendre le sparadrap assez bas pour qu'il tienne. De ce fait,
la quantité de peau qui peut s'étirer (qui est proche de la base du pénis) me
semble limitée. J'ai expérimenté le ring-taping consolidé (peau recouvrant le
gland et saucissonnée de sparadrap au bout), pour avoir une zone de peau plus
étendue qui peut s'étirer. A condition de mettre suffisamment de sparadrap, ça tient. |
![]() Un cross-taping nocturne avec des bandes plus larges pour qu'elles restent courtes |
Mais j'ai trouvé encore plus simple : au lieu de coller 2 bandes de sparadrap
en croix de 1,2 cm de large environ pour 5 cm de long minimum (sinon, ça
se décolle lors des érections), j'utilise toute la largeur du sparadrap, c'est à
dire 2,5 cm par bande. Ça m'emmène à découper 2 rectangles de sparadrap de 2,5 x 3 cm que je colle en croix. Les bandes de sparadrap étant moins longues, la peau peut s'étirer plus facilement lors des érections nocturnes sans que le sparadrap se décolle. |
Quelques semaines m'ont suffit pour vérifier que le principe de restauration
du prépuce par étirement de la peau fonctionne. Quelques semaines également m'ont permit de constater qu'en recouvrant son gland de peau une bonne partie de la journée, il regagne de la sensibilité. J'ai été circoncis trop jeune pour avoir eu un avant goût des sensations qu'on peut avoir en manipulant un pénis intact avant d'être circoncis. Mais avec mon début de restauration, je découvre certaines de ces choses maintenant. Certains affirment que la circoncision totale, celle qui entraîne la mise à nu du gland, est une mutilation. Je sais à présent par expérience que c'est la vérité. D'autres sites web affirment qu'une restauration complète d'un prépuce demande deux à trois ans d'efforts (voire plus si on souhaite avoir un gland recouvert lors des érections). L'avancement de ma propre restauration me permet de conclure que ces chiffres sont réalistes, et ce quelque-soit la méthode employée. |
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L'autre possibilité consiste à utiliser un appareil qui maintient un repli
de peau bloqué à l'extrémité du pénis et pousse le gland vers l'intérieur
du pénis. Entre ces 2 points, la peau (située à l'endroit du prépuce en
construction) est tendue. C'est le mode de fonctionnement principal du TLC-X
et du DTR (dual tension restorer) même s'ils peuvent aussi être utilisés de
la manière précédente (plus le TLC-X que le DTR). Après 13 mois de restauration de mon prépuce, alors que depuis quelques mois je n'arrivais plus à faire quelque-chose d'efficace dans la journée avec du sparadrap et éventuellement des joints toriques (il restait le cross-taping nocturne), j'ai eu une opportunité pour me procurer un TLC-X. Quelques difficultés pour apprendre à le mettre. |
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Un cône (qu'on appellera le cône interne) percé en son milieu et surmonté
d'une attache métallique en partie haute. C'est la pièce principale du TLC Tugger. |
Un poussoir (avec une zone ajourée pour ceux qui ont gardé leur frein sur lequel on visse une tige fine avant d'enfiler l'ensemble dans la partie basse (la plus large) du cône percé et de rajouter un système de vis + écrou. | Un cône de rétention de plus grand diamètre en plastique souple et souvent transparent. |
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![]() Le DTR en pièces détachées |
![]() Comparaison de la taille d'un DTR et d'un TLC-X taille "médium" |
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Le poussoir du DTR coulisse bien et le système de tension par élastique, plus
auto-adaptatif que celui qui consiste à bloquer la tige du poussoir est celui
qui vient naturellement à l'esprit. Le DTR est vendu en kit avec 2 tiges de 4 et 6 pouces, soit à peu près 10 et 15 cm de long. J'ai essayé pour commencer la tige de 10 cm avec 2 élastiques. Ça marche, mais à mon stade de restauration, un peu plus de tension aurait été préférable. Je suis donc passé à la tige de 15 cm avec seulement un élastique (celui qui est le plus loin de l'extrémité de la tige et de ce fait exerce une tension moindre que l'autre). Avec les 2 élastiques sur la tige de 15 cm, ça appuie trop sur le gland. Le réglage n'étant optimum pour moi avec aucune des 2 tiges, l'ai acheté des élastiques plus courts pour mettre sur la tige de 10 cm. De cette manière elle s'enfonce davantage, ce qui a été une bonne solution au début avant que, même enfoncé au maximum, le poussoir n'appuie plus assez à mon goût. Comme le fabriquant du DTR vend des tiges de 3 à 8 pouces de long, j'ai passé une nouvelle commande pour acquérir (notamment) une tige supplémentaire de 5 pouces (12,7 cm). Au prix des frais de port (hors états-unis d'Amérique), il vaut mieux l'acheter directement lors de la commande initiale. Contrairement au TLC-X qui étire surtout la peau interne (entre le pli du prépuce et le gland), le DTR étire aussi la peau externe (comme le montre la photo). Il reste toutefois la zone de peau coincée sous la coupelle qui est seulement compressée. Moyennant un bon ajustement de la pression sur le gland, le DTR peut être porté pendant de nombreuses heures en se faisant oublier. Après quelques heures, il peut finir par faire mal au niveau du poussoir. Dans ce cas, si on utilisait les 2 élastiques, en relâchant celui de l'extrémité de la tige, on peut avoir un peu plus de mou. Toutefois, certains jours, j'ai fini par enlever le DTR qui commençait à faire trop mal dans le courant de ma journée de travail pour le remettre plus tard dans la soirée. |
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Le DTR est vendu avec deux coupelles en plastique souple pour bloquer la peau
sur la cloche. Une de ces coupelles est trouée, pas l'autre. La qualité du maintien du DTR est similaire avec les 2 coupelles. Peut être légèrement meilleure avec celle trouée, car la peau à l'aplomb de ces trous remonte en faisant des boursouflures qui limiteront les glissements. Une fois le DTR enlevé, la zone de peau qui était coincée sous la coupelle apparaîtra comme une boursouflure irrégulière qui fait tout le tour du pénis à l'endroit où était le pli du prépuce. Ces boursouflures disparaissent après quelques heures sans DTR. Depuis que j'ai le DTR, des 2 appareils, c'est celui que j'utilise le plus dans la journée. Toutefois, Le serrage au niveau du pli du prépuce a déjà entraîné plusieurs fois des rougeurs sur la peau et l'appui de mon gland avec le poussoir rigide du DTR a été à certaines périodes rapidement douloureux. Dans ce cas, l'emploi du TLC-X a été plusieurs fois une solution de remplacement moins agressive pour la peau. |
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Le TLC-X est vendu avec une deuxième tige plus longue, un poussoir et deux
élastiques. En les utilisant, on peut disposer d'un TLC-X dont l'appui sur
le poussoir est réglée par des élastiques comme sur le DTR. Toutefois, la pression sur le gland est très modérée et on peut douter de son efficacité. De même, le TLC-X est fourni avec 2 ressorts et des rondelles à intercaler entre le poussoir et la base du cône interne. On peut mettre un ou deux ressorts. Il faut comprimer ceux-ci et remonter le poussoir le plus possible contre le cône interne puis bloquer la tige avant d'installer le TLC-X. Ensuite, on desserre l'écrou de serrage et le poussoir redescend. Toutefois, là encore, la pression sur le gland, même avec 2 ressorts, est très modérée et on n'obtient pas mieux que ce qu'on aurait avec un DTR et ses élastiques d'origine si la seule tige disponible pour cet appareil était celle de 10 cm. Le principal défaut du TLC-X étant de mal tenir lorsqu'on l'installe de la manière classique, j'ai trouvé une autre méthode dérivée de la mise en place du DTR. Premier geste facultatif, on retourne le cône de rétention sur lui-même de manière à ce qu'il soit légèrement incurvé vers l'extérieur. On sent une différence au toucher au niveau des bords externes. Ensuite, la peau du prépuce étant remontée sur le cône interne, on commence à enfiler le cône de rétention à l'envers, c'est à dire le coté le plus étroit contre le pli du prépuce. Dans ces conditions, il est facile de tenir à la fois le prépuce sur le cône interne et le cône de rétention. Dernière manipulation, on retourne le cône de rétention sur lui-même. Il coince alors la peau qui était remontée sur le cône interne. J'ai réalisé une vidéo pour montrer cette façon de procéder. |
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Moyennant quoi, un nouveau problème est apparu : il m'est arrivé de me réveiller vers 3-4 H du matin en pleine érection en sentant mon gland dans son étau et de choisir de libérer la bête pour pouvoir me rendormir. Mais du coup, ça a fait chaque fois quelques heures d'étirement de perdues. |
J'ai essayé aussi le DTR pour faire la même chose. Il est vendu avec une petite
tige non filetée à bloquer avec les petites vis métalliques pour l'utiliser en
"tugger". N'ayant pas confiance dans la solidité du pas de vis minuscule de la
pièce principale du DTR, j'ai préféré acheter une tige filetée de 3 pouces
(7,6 cm) et 2 écrous à ailettes (vendues 1 $ la paire). J'ai cassé les ailettes de l'un d'eux (et testé la solidité du nylon) avant de le visser à la place du poussoir. Comme mon gland fait moins de 4,5 cm de large en érection, je me suis moins senti à l'étroit qu'avec le TLC-X. Mais par contre, la peau coincée sous la coupelle fait mal au bout d'un petit nombre d'heure de traction. En fin de compte (après 1 an 1/2 de restauration), je n'ai pas encore trouvé de solution satisfaisante pour faire des étirements toutes la nuit et j'envisage plutôt de les faire de temps en temps dans la journée avec le TLC-X. |
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J'ai donc eu l'idée de me contenter d'un demi bouchon et de le retailler en forme
de cône, la partie la plus étroite du coté du crochet, afin que le sparadrap qui
maintient le prépuce par dessus soit resserré à l'extrémité. De cette manière,
l'ensemble tient bien. Simplement, lors des érections nocturnes, l'assemblage réalisé tire pas mal sur le sparadrap, ce qui est finalement encore plus désagréable que lorsque le gland est coincé sous le cône de rétention de TLC ou la cloche du DTR (et de toutes façon, il vaut mieux défaire l'ensemble pour pouvoir continuer de dormir. Donc, finalement, j'en suis revenu à utiliser de nouveau le cône de rétention de mon TLC-X pour bloquer mon prépuce sur le système de traction. |
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Même si le système de traction avec une sangle fonctionne bien, j'ai choisi
d'expérimenter (comme le font d'autres restaurateurs de prépuce) la traction
au moyen d'un objet un peu lourd, en l'occurrence, une bouteille d'un demi litre
remplie d'eau. Pour cela, j'ai utilisé la deuxième partie du bouchon à vin comme écrou pour y fixer un crochet ouvert d'un coté au bouchon vissant le la bouteille. Le contrepoids ainsi réalisé se fixe très rapidement à l'attache du système de traction. J'ai commencé les tractions de cette manière en plein été alors que la température dans mon appartement permettait (et rendait agréable) la nudité à domicile. Le seul (petit problème) est de s'asseoir sur le rebord du siège et non au fond. Mais avec l'arrivée de l'automne, la température a baissé rendant souhaitable l'utilisation d'un vêtement pour couvrir les jambes. J'ai trouvé la solution en recyclant un vieux jean déchiré à l'entrejambe en dessous de la braguette qui dispose de ce fait d'un orifice au bon endroit pour y faire passer mon pénis. |
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En presque 2 ans de restauration, je suis passé d'une
couverture au repos de CI-2 à CI-7. C'était mon but à atteindre au départ. Toutefois, après une érection, par exemple l'érection nocturne, j'ai beaucoup de peau qui s'accumule derrière le gland sans que le recalottage se produise de lui-même. Je compte donc poursuivre encore ma restauration pendant 6 mois ou un an pour augmenter un peu plus ma couverture au repos. J'ai donc choisi de continuer ma restauration sans savoir si je m'arrêterai plutôt au bout de 2 ans et demie ou de 3 ans. A presque 2 ans et demie de restauration, j'ai choisi de la poursuivre jusqu'au début de la période chaude de 2016 (fin du printemps ou début de l'été), ce qui fera presque 3 ans et demie au total. En effet, par des températures élevées (30 °C et plus, ce qui se produit dans ma région), la transpiration fait que les dispositifs de tension de la peau tiennent très mal. J'avais carrément interrompu pour cette raison ma restauration en juin 2015 et ne l'ai reprise que quelques heures par jour à la mi juillet. Le début de l'été peut donc être un bon moment pour interrompre ou arrêter définitivement une restauration. Par des températures moyennes (dans les 20°C), mon nouveau prépuce recalotté manuellement tient très bien en dépassant de quelques 5 mm de mon gland, ce qui correspond à un bon CI-7. Même si un prépuce restauré a une peau plus épaisse qu'un prépuce d'origine (mais ma peau s'est affinée par rapport à la première année où je n'utilisais presque que du sparadrap), l'aspect une fois recalotté est très esthétique. Néanmoins, le recalottage après les érections nocturnes ne se fait pas encore tout seul ou seulement très partiellement. J'ai souhaité donc rallonger encore mon nouveau prépuce pour régler (au moins partiellement) ce problème. |
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Beaucoup de circoncis récents (à l'âge adulte) se plaignent d'avoir leur pénis
rétréci en longueur, au moins au repos, quelquefois aussi en érection. Un
inconvénient que démentent catégoriquement les pro-circoncision mais qui
s'explique simplement par la longueur de peau en moins. Déjà, ma première année de restauration m'a permit de récupérer un centimètre de longueur au repos (décalotté). Toutefois, si les tractions sur le pénis permettent de retrouver une longueur au repos plus naturelle (avec un pénis moins recroquevillé), la longueur de peau ainsi récupérée ne permet pas autant qu'avec qu'avec un système dual tension d'augmenter la couverture du gland par le prépuce. Une partie de l'étirement aboutit à un pénis plus long en repos en position debout et non à une meilleure couverture du gland. Les deux systèmes d'étirement sont donc complémentaires. |
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Davantage de difficultés à utiliser le DTR de manière prolongée avec la tige de
15 cm et des élastiques courts. La pression sur le gland devenait douloureuse
après seulement une heure et demie d'utilisation et nécessitait des arrêts
prolongés dans la journée. J'y ai finalement remédié avec d'autres élastiques moins larges et en n'utilisant qu'un élastique à la fois pour avoir une moindre pression sur le gland. Au fil des mois, j'ai constaté de plus en plus de facilité pour rester calotté et avoir le gland bien recouvert. Néanmoins, il faut toujours faire ou finir le recalottage à la main après les érections nocturnes durant lesquelles mon gland est bien à l'air. |
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Une première explication tient à la différence de température :
20 °C pour les photos ci-dessus, prises en avril, 30 °C pour
celle faite en juillet. Quand il fait chaud, le pénis a tendance à gonfler,
ce qui aboutira à une couverture moindre du gland. Ce phénomène se constate facilement sur une plage naturiste. Lors de la baignade calottée, le pénis se recroqueville et le prépuce recouvre très largement le gland sans laisser voir l'ouverture, soit un index de couverture de CI-8 ou CI-9. Par contre, après quelques minutes allongé au soleil, le pénis reprend sa taille habituelle (voire plus s'il fait bien chaud) et on finit par se retrouver décalotté. Néanmoins, après quelques mois sans restauration, l'aspect de mon pénis est plus proche de la photo de juillet. J'avais constaté que juste après avoir enlevé le DTR ou le TLC, la peau garde en mémoire la traction qu'elle a subie, ce qui donne l'impression d'un prépuce plus long que si on l'observe de nouveau quelques heures après. Il est possible que les photos d'avril faites quelques heures après des tractions nocturnes aient favorisé un résultat très flatteur. |
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Cet appareil est vendu comme moyen d'allonger son pénis. Il comporte
une platine trouée ou milieu dans lequel on l'enfile. Sur les cotés de
cette platine partent deux tubes dont on peut régler la longueur à la
fois grâce à un système de vis et à des tubes d'extension disponibles
en 2 longueurs et amovibles. A l'autre extrémité des tubes, on peut emboîter une autre pièce destinée à accueillir l'avant du pénis qui y sera maintenu par un système de serrage. Toutefois, pour restaurer un prépuce, à la place du système de serrage, on met un TLC-X (ou un TLC-Tugger). Et si c'est un TLC-X, on peut le régler en dual-tension. Il reste à fixer le TLC sur la pièce emboîtée dans les tubes. Après avoir essayé avec du fil de fer (pas terrible), j'ai trouvé que l'emploi d'un boulon à tête large et son écrou constituent un système de fixation rapide à mettre et à enlever et qui a l'avantage de bloquer aussi la tige du poussoir du TLC-X. |
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Ce système d'extension se remarquera plus sous un jean qu'un TLC ou un
DTR employé seul, mais il permettra de garder le TLC-X plusieurs heures
si on a pris soin de régler la poussoir afin que la poussée sur le gland
ne soit pas trop forte. Par contre, il vaudra mieux ne pas avoir d'érection lorsqu'on utilise cet extendeur. D'abord parce que le trou de la platine dans lequel est enfilé le pénis risque de devenir trop étroit, ensuite parce que la pression du gland sur le poussoir du TLC risque d'être forte (pas d'élastique pour l'équilibrer), ce qui peut aller jusqu'à la blessure du gland. |
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J'ai préféré acheter un système complet de restauration par air :
l'hyperrestore. il est vendu en 2 versions : le système avec ballon et le système "direct air" dans lequel un rouleau de sparadrap étanche à l'air est fourni à la place des ballons et des élastiques. J'ai testé le modèle avec ballon qui est vendu avec 25 ballons et élastiques. D'après le fabricant, la durée de vie d'un ballon (qui peut éclater) est d'une semaine. Les composants les plus coûteux sont les cônes internes et externes réalisés en silicone souple. Comme dans le cas des TLC-X et TLC-Tugger, il faut indiquer le diamètre (au repos) de son gland pour obtenir un cône externe à la bonne dimension. L'assemblage de la partie principale consiste à enfiler le ballon à l'extrémité d'un tube bleu puis à y passer un élastique qu'on tendra suffisamment pour assurer l'étanchéité. Ce groupe d'éléments sera ensuite enfilé dans le cône interne. |
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Si le principe de fonctionnement est intéressant, l'essai de ce matériel a
été décevant. L'hyperrestore est fourni avec des élastiques longs et de faible diamètre. En faisant le montage comme indiqué, le dégonflage a été très rapide et il ne restait que peu de pression au bout de seulement une minute ! J'ai essayé des variantes en faisant chevaucher les tours d'élastique les uns sur les autres et aussi en utilisant des élastiques personnels plus larges, afin que le ballon soit bien plaqué contre le tube. Le dégonflage est beaucoup plus lent. Toutefois, dans les deux cas, la perte de pression était importante au bout de 5 minutes et donc, on ne pouvait pas espérer utiliser l'hyperrestore efficacement pendant plusieurs heures. J'ai donc recontacté le vendeur pour une réexpédition et un remboursement conformément à la loi française sur les achats par internet. |
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